Stefano Lo Cicero

JACQUES FOUCHER

Journaliste

Extrait

… Il tire parti de toutes les particularités de la matière, qu’elle s’irise, qu’elle s’empâte, quelle permette des jeux de glacis, guettant le trompe l’œil, l’accident, n’importe quel jeu qui puisse donner prise à des développements, des extrapolations, des suggestions.
Dans les remous de couleurs profondes naît un petit théâtre de l’imaginaire: figures et silhouette, remarquablement ciselées et modelées. Cette peinture a par ce coté raffiné un peu du charme des miniatures qu’il faut regarder de près et puis encore une certaine somptuosité grave assez attirante, vue de loin…
Da: Quotidien “La Nouvelle Répubblique” – Tours (F), mars 1979